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Critères de la liberté financière

  • Langue de rédaction : Coréen
  • Pays de référence : Tous les payscountry-flag
  • Économie

Création: 2024-04-26

Création: 2024-04-26 12:00

L'une des tendances récentes semble être la liberté financière.

Le concept flou de la liberté financière, YOLO (you only live once), a fait son apparition,

puis, dans un contexte de marché de liquidités à faible taux d'intérêt, des salariés ayant réussi leurs investissements ont pris une retraite anticipée, et le concept de liberté financière s'est concrétisé avec FIRE (financial independent retire early).

Critères de la liberté financière


On ne vit qu'une fois !

Atteindre la liberté financière et profiter d'une seule vie !

Ne plus vivre pour les autres, mais pour soi !

C'est ainsi que l'on pourrait qualifier la vie de liberté financière que beaucoup de gens rêvent d'avoir.

Si l'on devait traduire ce concept flou de liberté financière en un montant équivalent à un salaire, quel serait-il ?

Cinq cents euros par mois, deux mille, trois mille ?

Selon moi, la réponse est : « cela varie d'une personne à l'autre ».

Il n'est pas nécessaire de se conformer aux critères des autres.

L'important est de savoir quel est votre propre seuil.

Il est important de réfléchir concrètement à ce point.

Au lieu de chiffres vagues, il faut réfléchir de manière concrète.

Il faut le décomposer en coûts fixes + coûts variables + coûts de marge de manœuvre.

Coûts fixes = Frais de base tels que les factures, les primes d'assurance (+assurance maladie), les frais de cours, les frais de transport, les vêtements, la nourriture, etc.,

Coûts variables = Dons de mariage, anniversaires des parents, examens de santé, voyages, dépenses impulsives, et

Coûts de marge de manœuvre = Une fois que les coûts fixes et variables ont été payés, il faut qu'il reste de l'argent pour avoir une marge de manœuvre.

Il faut qu'il reste une certaine somme d'argent.

Ces trois types de coûts varient d'une personne à l'autre.

Le montant cible est différent pour chacun, mais on a tendance à penser que « plus il y en a, mieux c'est ».

Le problème, c'est que pour atteindre ce « plus il y en a, mieux c'est », il faut consacrer beaucoup de temps et d'efforts.

Dans la plupart des cas, même après avoir déployé de tels efforts, on n'y arrive pas.

C'est là qu'il faut adopter une attitude plus détachée.

Cette attitude, cet état d'esprit, « laisser aller », est un sentiment vraiment « difficile ».

Sur la base de cette attitude de détachement,

calculons le coût concret de la liberté financière pour chacun.

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